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16 août 1977

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The Nite Commander
 
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16 août 1977

Messagepar The Nite Commander » 16 Août 2007, 08:47

MEMPHIS (AFP) - Elvis Presley, déjà une idole de son vivant, semble avoir réussi à transcender la mort pour être toujours adulé trente ans après son décès, le 16 août 1977, à seulement 42 ans.

Bien que ses chansons ne fassent plus la Une des hit-parades depuis longtemps, la légende d'Elvis Presley continue de fasciner et à vendre. Des dizaines de milliers de fans de tous âges vont lui témoigner leur ferveur toute cette semaine à Memphis (Tennessee, sud) à l'occasion du 30e anniversaire de sa mort.

Elvis Aaron Presley c'était le pauvre qui a réussi, le blanc qui a su chanter comme un noir, le sex symbol proche de sa mère, le rebelle patriote, c'était aussi le roi du rock'n'roll, mort trop jeune, dont la célébrité et la fortune l'avaient plongé dans la droque et le dépression.

De John Lennon, le Beatles, qui s'y connaissait en matière de révolution musicale, au compositeur américain Leonard Bernstein, en passant par Bono, le leader du groupe U2, les grands ont loué le "King" et son influence.

"Avant Elvis il n'y avait rien", avait clamé Lennon. "C'est la plus grande force culturelle du XXe siècle", avait renchéri Bernstein. Et, le compositeur de "West Side Story" d'ajouter: "Il a mis le 'beat' dans tout, la musique, le langage, les vêtements, c'est une révolution sociale". Pour Bono, "Elvis a tout changé, musicalement, sexuellement, politiquement".

Même s'il n'a pas été le premier à mélanger le blues, une musique typiquement noire américaine inspirée de l'esclavage, avec la country music, l'apanage des blancs, il a donné vraiment donné son élan au rock avec son tube de 1956 "Heartbreak Hotel".

D'une beauté physique et d'un charisme irrésistible, Elvis le rebelle a entraîné avec lui une génération d'après guerre qui voulait briser le corset des conventions imposé par leurs parents.

Ses déhanchements sensuels et suggestifs lui ont valu l'opprobe des conservateurs tout comme son coup de foudre pour Priscilla, qui n'avait que 14 ans quand il l'a rencontrée.

Mais Elvis a aussi fait sans rechigner son service militaire de deux ans en Allemagne et était un chrétien convaincu.

Peu à peu pourtant, la bête de scène s'est empâtée physiquement jusqu'à devenir bouffie, les films médiocres se sont succédé à un rythme rapide, le kitsch a pris le pas et Elvis s'est adonné aux drogues et est tombé en dépression. Pour autant cela ne l'a pas empêché de produire encore des classiques comme "In The Ghetto" et "Suspicious Minds", avant de mourir d'une crise cardiaque dans sa salle de bain.

Aujourd'hui, Elvis reste l'artiste solo le plus populaire au monde si on le mesure à l'aune du milliard d'albums vendus dans le monde entier. Ils sont tous les ans 600.000 visiteurs à faire le pélerinage de Memphis, où Elvis a enregistré ses premières chansons, où il a vécu dans sa propriété de "Graceland" et où se trouve sa tombe.

Parmi les pélerins en 2006, Junichiro Koizumi, alors Premier ministre du Japon, qui avait profité d'une visite d'Etat pour aller à "Graceland" rendre hommage au "King".

Il exerce encore une telle fascination qu'il rapporte toujours entre 40 et 50 millions de dollars par an et la campagne de marketing sans précédent pour marquer le 30e anniversaire de sa mort devrait remplir les caisse de plus belle à coup de rééditions de chansons, de films, de tasses à café ou de pendules à son effigie.

Dans l'esprit de certains, il est si grand qu'il n'est pas mort et très régulièmement des témoins affirment avoir vu Elvis...bien vivant.


http://fr.news.yahoo.com/afp/20070816/t ... fc3_1.html

Voici 30 ans qu'Elvis, à l'âge de 42 ans, nous a quitté. Qu'on connaisse ou pas ses chansons, tout le monde a entendu parler au moins une fois de ce fameux King. Perso, je préfère Stephen, mais chacun ses goûts.
Après, on aime ou pas. Je connais pas vraiment ses oeuvres pour pouvoir en parler, mais force est de reconnaitre qu'Elvis déchaine toujours autant les passions. Entre 40 et 50 millions de dollars de bénèf' annuel, selon l'article. OK, l'Histoire l'a en quelque sorte transformé en mythe, mais dans tout mythe qui se respecte, il y a un fond de vérité. Il devait un artiste incroyable. Peut-être n'a-t-il rien inventé, comme je l'ai lu sur ce forum, mais il a popularisé le rock'n'roll, si j'ai bien compris.

Pour info : ce soir, soirée spéciale Elvis sur RTL :wink:

Vos réactions?
Et histoire d'alimenter un minimum ce topic : Elvis, vivant ou pas? :mrgreen:
Howlin' Mad!!

Phil
 
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Messagepar Phil » 16 Août 2007, 09:10

C'est un des pionniers . Nous lui devons toute l'admiration et le respect qu ' il se doit . :D :D :D

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krychtov
 
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Messagepar krychtov » 16 Août 2007, 09:41

j'ai entendu un sondage américain ce matin qui affirmait que 17 % des américains étaient persuadés qu'Elvis était encore vivant !

Perso, je m'écoute ma petite compil d'Elvis de temps en temps, c'est frais, ça détend !
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Bronco
 
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Messagepar Bronco » 16 Août 2007, 11:25

Idem, un petit peu d'Elvis de temps à autre ne fait pas de mal!

Longue vie au King! 8)

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Messagepar Mcbeef » 16 Août 2007, 11:35

krychtov a écrit:j'ai entendu un sondage américain ce matin qui affirmait que 17 % des américains étaient persuadés qu'Elvis était encore vivant !

Perso, je m'écoute ma petite compil d'Elvis de temps en temps, c'est frais, ça détend !

Oui j'avais entendu parler de ce pourcentage (mais c'était pas 13%?), assez affolant tout de même.

Merci d'avoir eu la hargne, la pêche, le boogie des artistes noirs de l'époque, sans toi on ne serait jamais arrivé là où le Rock en est!

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ThunderTruc
 
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Messagepar ThunderTruc » 16 Août 2007, 12:12

Je n'ai jamais considéré Elvis comme le Roi de quoi que ce soit (Roi de la Guimauve à la limite) Elvis 54-57, c'est génial; il est en plus entouré de bons musiciens. Après aucun intéret pour moi. Je lui préfère, et de loin, des gens comme Chuck Berry, Carl Perkins, Little Richard qui à mon avis on apporté plus au Rock n'Roll.
Elvis a été la 1ere grande icône du Rock, mais aussi le 1er produit commercial. N'oublions pas que si il a déchainé les passions, ça restait avant tout un américain conservateur, pas franchement un rebelle.
Il a quand même été le facteur déclencheur de quelque chose. Bref
LONG LIVE THE KING!
Bouga Bouga

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Messagepar Gus95 » 16 Août 2007, 12:19

Article Libé 16/08/2007

A l’occasion des célébrations monstres du trentième anniversaire de la mort du King, Gabriel Segré, ethnologue, décrypte les raisons et les conditions de l’avènement du mythe Presley.
Par LUDOVIC PERRIN

Le 16 août 1977, Elvis Aaron Presley était retrouvé mort dans les toilettes de Graceland, sa résidence de Memphis (Tennessee). Il avait 42 ans.


Gabriel Segré, ethnologue, maître de conférences à l’université Paris X

Sur quoi repose le culte Presley ?

Sur la construction d’un récit. Dès 1977, une succession de biographes, de son cousin à sa cuisinière, œuvrent à sa mythologie. Ils le divinisent, le sacralisent, l’héroïsent. Elvis, à la base, c’est l’histoire du self-made man si emblématique du rêve américain, un gosse d’origine modeste qui devient une star - mais consensuelle. Les différentes facettes de son personnage permettent à chacun de s’y retrouver, les radicaux comme les conservateurs. Il y a le provocateur, le rebelle, l’amant sensuel, celui qui fréquente les bas-fonds, mais aussi le citoyen idéal, bon père, mari exemplaire, qui lit la Bible et offre des fauteuils roulants aux handicapés. Même si certains ont cherché à le diaboliser en pointant sa fin de carrière bouffie comme symbole d’un impérialisme déclinant, c’est ce versant que les biographes ont privilégié. En gommant les zones obscures, ils ont ramené Elvis vers une légende dorée, une vie de saint. Son histoire ne se limite pas à celle d’un chanteur qui enregistre des disques. Elle est biblique, celle d’un martyr qui se sacrifie pour son public, qui porte sa croix pour apporter du bonheur sur terre. Comme le Christ, il posséderait des pouvoirs surnaturels pour soulager de la douleur.

Mais pourquoi lui ?

De son vivant, il bénéficiait déjà d’une ferveur immense. Il correspondait dans l’après-guerre aux ­aspirations de toute une génération à écouter autre chose ­que les produits hégémoniques des majors. Mais, contrairement à Marilyn, au Che ou à James Dean, son terrain a été plus favorable. Au lendemain de sa mort, des messes s’organisent, des déplacements s’effectuent du monde entier vers Graceland. On note surtout une communauté prête à investir sur sa postérité. Elvis, c’est une source de revenus importante pour la «Memphis Mafia» (sa cour), ses ayants droit, mais aussi pour l’industrie, du disque (RCA), du cinéma (MGM) et du tourisme (Memphis). Personne n’a intérêt à ce que les revenus s’amenuisent. Les autorités américaines également ont intérêt à ce que cette image consensuelle des valeurs américaines triomphantes, conquérantes, continue de s’exporter. Les sociétés modernes ont besoin d’idoles. Et l’entreprise Presley transforme la maison familiale de Graceland en musée, érige des statues partout dans le monde, rebaptise des rues, des parcs, organise des pèlerinages, des veillées aux bougies, des spectacles de sosies…

Mais comment expliquer cette adhésion pour qui n’est pas américain ?

Contrairement à beaucoup de pays occidentaux, les Etats-Unis ont la faculté d’exporter leurs modèles culturels, même lorsqu’il s’agit comme ici d’un produit régional, localisé dans le Tennessee. Ce sont des enjeux industriels énormes et évidents. Mais qu’Elvis puisse aujourd’hui toucher et fasciner Samira, une des jeunes filles que j’ai interviewé pour mon dernier livre, c’est plus subtil. Bien sûr Samira ingurgite comme n’importe qui la puissance de diffusion du modèle américain. Mais pour cette jeune Algérienne, née en France, élevée en Algérie, il y a aussi un phénomène d’identification protestataire. Tout d’un coup, avec Elvis, elle trouve un autre modèle qui lui permet de tourner le dos à des pans entiers de sa culture et de son éducation qui ne le lui conviennent pas, notamment une vision conservatrice du rôle des femmes. Sans forcer le trait, Elvis permet le féminisme de Samira.

Dans Au Nom du King, vous parlez du rejet par les Noirs du culte Elvis. Est-ce une culture blanche ?

À Graceland en 1997, pour les vingt ans de sa mort, je n’ai vu quasiment que des Blancs, plutôt des quinquagénaires issus de milieux populaires. A trois kilomètres de là, il y a des quartiers noirs où on déconseille de s’aventurer. Ces deux populations ne se rencontrent pas. A Graceland, on sent effectivement un rejet des Noirs. Certains disent qu’Elvis est le trait d’union entre les Blancs et les Noirs, une sorte de fédérateur ayant aidé à populariser Chuck Berry et Fats Domino. Mais pour beaucoup, il a spolié la culture noire pour en tirer des dividendes. C’est Sam Philips, le patron des disques Sun, qui prophétisait : «Si je pouvais trouver un Blanc qui ait le son noir et la sensibilité noire, je pourrais gagner un million de dollars.» Il ne s’est pas trompé. Graceland est en pleine expansion et c’est un des sites touristiques les plus visités aux Etats-Unis.
Un lien vers mon blog sur les bonnes adresses parisiennes.
http://parisian-walkways.blogspot.fr/

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EirKa
 
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Messagepar EirKa » 16 Août 2007, 13:02

Hi!

La première "période" d'Elvis tourne souvent sur ma platine! Même certaines balades de l'époque ne sont pas pour me déplaire! Bref, cette période possède quelque chose d'assez indescriptible, j'irais même juqu'à dire "magique" pour ce qu'elle véhicule comme force!

Après, la période Las Vegas......... là j'ai du mal! On est tout de même bien loin de l'esprit Rock&Roll (aussi tentés que l'on puisse dire que cet esprit a habité Elvis tant son revirement to Las Vegas est stupéfiant de remise en cause!)

Récemment, avec des gens de mon entourage, j'ai remarqué que les anti-rock&roll n'appréciaient pas trop la 1ère période du King, mais adoraient celle de Las Vegas! Bah oui, la guilauve fournit à l'époque ne touchait pas le même public!

D'un côté, je me dis mais pourquoi s'en est-il allé par là? De l'autre, je me dis, avait-il réellement le choix?
EirKa

La seule vérité que je connaisse, c'est le doute........... et encore, j'en suis pas sûr!

KIkOoLoL
 
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Messagepar KIkOoLoL » 16 Août 2007, 13:16

Jsuis assez fan d'Elvis, surtout la période fin 1950's. Quant à son apport réel au rock'n'roll, il a apporté ce que Chuck Berry, Carl Perkins, Jerry Lee Lewis ou Little Richard réunis n'auraient pu apporter : la popularité, avec une belle gueule etc.
Pour ce qui est de sa période post-service militaire, c'est du gachis, avec pour seule exception le come back en 68 ( ou 69 ) à la tv US.

Bref, R.I.P

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sydney76
 
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Messagepar sydney76 » 16 Août 2007, 15:35

J'adore Elvis, mythe absolu personnifié.

8)
"Don't worry about tomorrow
Take it today".

Walter
 
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Messagepar Walter » 16 Août 2007, 16:21

Elvis est un mythe et c'est justifié, car à partir d'un certain moment, très vite, vous n'écoutez plus des chansons interprétées par Elvis mais Elvis lui-même tant son charisme vocal est grand et inimitable.
Lorsque que l'on commence à aimer Elvis lui-même, la moindre chanson parmi 940 environ, tout compris, est intéressante et prend de l'envergure, même les plus insignifiantes comme A dog's Life...
La meilleure période pour moi est celle de las Vegas, de 69 jusqu'en 77, au moins ou surtout pour les productions studio. Toutes les chansons interprétées sont des romances country que j'adore et même si souvent la production laisse à désirer, surtout pour les concerts (sout froid et distant), j'aime énormément d'inombrables titres tels que For the good times, How time slip away, I'll remember you, Burnin' love, Big Hunk of Love, et un titre inconnu, une interprétation d'une chanson écrite et jamais enregistrée par Bob Dylan : Tomorrow is a long time, superbe ! Et des centaines d'autres, je ne plaisante pas ... Je crois que je vais vous faire tout écouter ! :lol:
La fan mania prend fin quand on écoute tous ces concets d'à partir de 74-75 lorsqu'Elvis commençait à aller vraiment mal... L'entendre ânonner ses chansons en plaisantant, déjà grossi, conclues par une descente d'octave affreuse de son chanteur "gravissimo" dont le nom m'échappe (écoutez Why me Lord?" en 74, Elvis in Memphis !) le tout sur des enregistrement console en mono, pffff........ Elvis ne se voyait pas chanter ALl shook up à 40 ans, la preuve en est toutes ces interprétations ultra-rapides d'une minute à peine...
Plus ou moins manipulé par le "colonel" parker (faux nom, faux colonel, immigrant illégal, adolescent hollandais fugueur, bref, il aurait éé si facile de s'en débarasser... ) Elvis n'a jamais pu donner de concerts hors Etats-Unis, précisément pour ne pas risquer l'explulsion du colonel...
Elvis traumatisé par la mort de sa mère plus ou moins alcoolique d'ailleurs, à l'âge de 46 ans, et depuis toujours emmené par cette dernière sur la tombe de son frère jumeau ( Jessie Garon Presley), ce qui l'a toujours poussé à croire qu'il portait en lui une double personnalité, le Bien et le Mal, Elvis et Evil ...
Elvis qui serait toujours vivant. Pourquoi un million de $ ont-ils été versés sur un compte au nom de John Doe (un de ses pseudonymes, je crois) deux jours avant sa mort ?
Enfin, tant de choses à dire... Il faut reconnaître qu'il y a de quoi faire un culte et une légende !
Une petite pensée pour l'Eglise des Presleytariens ... :wink: :roll:
Je laisse un peu de place aux autres quand même ! Et j'essairai de vous faire écouter plein de choses fantastiques...

A.S.A.
 
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Messagepar A.S.A. » 16 Août 2007, 16:52

Même s'il y a des avis divergents sur le fait qu'il ait apporté quelque chose au Rock'n'roll musicalement, on est obligé de dire qu'il a vraiment représenté le Rock'n'roll populaire (cf. KIkOoLoL).

Jsuis pas un fan mais j'aime les "grands classiques", Love Me Tender et A Little Less Conservation surtout.

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bonang
 
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Messagepar bonang » 16 Août 2007, 17:37

Soirée Elvis ce soir sur RTL de 20h à 3h avec notre Georges Lang national en direct de Graceland.
Pas mal d'heures de musique en perspective.

jégus
 
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Messagepar jégus » 16 Août 2007, 17:57

ThunderTruc a écrit:Je n'ai jamais considéré Elvis comme le Roi de quoi que ce soit (Roi de la Guimauve à la limite) Elvis 54-57, c'est génial; il est en plus entouré de bons musiciens. Après aucun intéret pour moi. Je lui préfère, et de loin, des gens comme Chuck Berry, Carl Perkins, Little Richard qui à mon avis on apporté plus au Rock n'Roll.
Elvis a été la 1ere grande icône du Rock, mais aussi le 1er produit commercial. N'oublions pas que si il a déchainé les passions, ça restait avant tout un américain conservateur, pas franchement un rebelle.
Il a quand même été le facteur déclencheur de quelque chose. Bref
LONG LIVE THE KING!



Tout est dit. Elvis Presley a été quelqu'un, c'est certain. Mais point de vu musical, un gars comme Carl Perkins l'est tout autant, et pourtant il est presque oublié. Le Blue Suede Shoes, c'est pas Elvis qui l'a fait comme j'ai honte parfois de l'entendre. Mais bon, Elvis comme tu le dis, a été LA première icone rock'n'roll. Johnny peut se remballer avec son "idole des jeunes". LOL non, non, allez, j'arrête ;)

Bonne journée.

1935 - 1977. Elvis A. Presley.

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Highwaytohell555
 
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Messagepar Highwaytohell555 » 16 Août 2007, 18:31

Elvis Presley? Connais pas! :wink:

Plus sérieusement! Qui, dans ces 5 dernières décennies, a pu passer à côté du mythe Elvis? Qui a pu passer à côté de ce déhanché qui a endiablé les foules et qui a fait sévir les autorités? Personne! Lorsque je vois Elvis en 1968 faisant son retour après 7 ans d'absence au studio NBC, je vois la personne qui a le mieux incarné l'esprit rock'n'roll (et il l'incarne encore!) ! Il est l'îcone, il est le roi, il est Elvis! Bien sûr, on retiendra d'Elvis un rocker habillé de cuir noir ou habillé d'une cape sertie de diamants et rubis mais c'est l'image! Presley est en fait un américain très catholique! Mais qu'importe l'image qu'on a de lui, la musique reste! Le rock'n'roll ne fait pas pâle figure avec lui! Même s'il n'écrit pas ses chansons, il les chante avec une voix qui me donne le frisson à chaque fois!

Que Elvis soit un simple chanteur pour certains, un rocker aux habits de cuir pour d'autres ou un chanteur bouffi par la drogue, il ne laisse personne indifférent! 30 ans après sa mort, il continue de faire vibrer et d'émouvoir les foules! Il n'est pas un saint mais il est à coup sûr une îcone du rock'n'roll que personne sur cete planète n'a oublié! :wink:

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