Paris, Stade de France, review de TOF | Highway To ACDC : le site francophone sur AC/DC

Carnet de route Open Air Europe

Paris, Stade de France, review de TOF

Il y a quasiment 8 ans à quelques jours prêts, les kangourous magiques prenaient possession, pour la première fois de leur histoire, du SdF. 8 ans plus tard, avec un seul album en plus mais plusieurs bougies sur leurs gâteaux d’anniversaires, que cela pouvait il donner ? Surtout qu’il y a 8 ans, ils avaient délivré une partition exceptionnelle, conclue par une world tour première : Ride On. Pour un groupe qui fait jamais de modif ni de surprise, imaginer l’état du fan !!!! Bref ils avaient eux même placer la barre très haut. Je me rends donc en fin d’aprèm dans ce stade finalement jeune mais déjà mythique. Accompagné de ma chère et tendre, on prend la température ambiante. La pluie a cessé depuis en gros la veille. C’est certes un peu couvert, mais on sent bien que madame météo sera avec nous ! Merci Evelyne !!!!

On va repérer nos places gradins … tribune basse S rang 7 …. (Merci mec ! Une fois de plus t’as assuré !!!!). Bref on rejoint Bertrand au café !!!! Première constatation ; ce n’est pas ma tasse de thé !!! Direction dehors pour se griller quelques clopes, profiter du soleil qui débarque enfin. On fait un tour vers une boutique officielle … Madame veut un T-shirt et une casquette … et ben on va lui faire plaisir.

Comme j’avais déjà la réponse … je ne me suis pas trop poser de question …. Nous avons donc retrouvé nos places une vingtaine de minutes seulement avant le début de la grande aventure.

Premières constations. C’est plein. A craquer même. Impressionnant. Le public est de tout horizon, de tout âge. L’humeur est bonne enfant. La soirée semble s’annoncer parfaite.

21 heures précises, le mécanisme suisse des australiens se met en place. Les lumières s’éteignent, mais comme il fait jour …. Bref le film commence …. Et la loco fait son entrée dans le stade …. Welcome in Paris ! La rythmique s’installe … au fond de la classe. Brian et Angus prenant comme d’hab les devants … Première constations : le son nickel chrome. Deuxième constations : Angus a l’air d’être pas mal en forme. Troisième constations : Brian a l’air d’être en SUPER MEGA forme.

Il dance, va cherche la foule, arpente cette langue qui remonte jusqu’à la scène …. Houaw. Impressionnant le gars. Angus lui enchaine ses mimiques qu’il maitrise à perfection. Certains trouvent ça répétitifs. Moauis. Sur qu’il n’innove pas pépère … mais bon on est à un show d’AC/DC, on sait bien que si on vient pour du neuf, on s’est juste gouré d’endroit !!!

Les classiques entourent les titres du dernier opus. Alors si les derniers font moins retomber l’ambiance qu’au Bercy de février dernier … les classiques, eux, font chavirer le Stade. Ma femme dance, chante, n’en reviens pas que je devine ce que va annoncer Brain !!!! We’ve got a song for you ….. DDDDC !!!!! L’enchainement avec Shot down in flames et Tunderstruck est tout simplement monstrueux ! Arrive … The Jack. Brian nous présente la chanson, Angus fais ses gimmick sur sa SG. Et c’est parti …. Lu public chante, les filles sont heureuses de passer sur les écrans géants …. (En même temps on est en train de chanter qu’elles sont vérolées de l’intérieur, mais bon elles sourient quand même !!!!!). Le strip démarre … Angus est en forme. Il se déhanche comme jamais. Brian se replace au bout de l’avancée. Bong ….. Bong ……. Bong ….. Hells Bells …. La cloche descend, Brian court et attrape la cloche … Enchainement avec Shoot to thrill et son break qui permet de voir 160 000 bras levés. C’est beau.

Le Dog eat Dog coincé entre les deux derniers du dernier, fait mouche. Merci.

Le final est grandiose. L’artillerie lourde est de sortie.

On atteint le niveau d’alerte Defcon 5 ou 6 ou ce que vous voulez ….. les oie, oie, oie, oie. Pffff …. J’ai cru que le SdF allait se soulever. Quelle claque.

Arrive cette bonne grosse Rosie … Et là enfin … oui enfin j’ai eu droit à ce que j’attendais depuis longtemps. Cela fait des années que je me disais que sur cette chanson ce serait bien qu’ils laissent le public entamer les couplets. J’avais entendu une version comme çà …. Lors des concerts de reformation de Geodie. Mais jamais sur un vrai show d’AC/DC. Et là Brian nous regarde, nous souffle un peu le truc .. mais nos laisse entamer. Wanna tell you a story 'Bout a woman I know When it comes to lovin' She steals the show She ain't exactly pretty Ain't exactly small Forty-two, thirty-nine, fifty-six You could say she's got it all Merci.

La batterie entame l’intro de Let There Be Rock. On sait très bien ce qui va se passer. Solo interminable d’Angus au milieu su stade, sur sa plate forme. Juste en face de nous. Que c’est beau. Et toujours la même question : que ce passe t-il dans sa petite caboche de diablotin. Comment de pas prendre la grosse tête … tout ces gens qui se scande, qui attende chaque note, chaque geste, chaque intervention. Oui que ressent-il là,, à ce moment là …

Les lumières s’éteignent. Le groupe disparait. La scène se rallume. La fumée envahie la scène au son de la guitare d’Angus. Et c’est parti pour un final de feu. Highway to hell, For those ….

Là fausse joie. Le stade ne se rallume pas. J’y crois …. J’y crois encore. Paris … Paris … et paf feu d’artifice .. Non nous n’aurons donc pas droit à une petite surprise finale.

Tant pis.

Allez on terminera par le petit regret de la soirée : Trop de Black Ice … en effet pour une teuf Open Air, moins de neufs, plus de classiques n’aurait pas été de refus … en même temps, l’album ayant eu un accueil plus que réceptif en terme de vente …. Ceci explique sans doute cela.

Rendez vous dans 18 jours pour la dernière européenne …. Ouaip, j’ai rendez vous avec l’histoire …

Merci !
H2ACDC Team
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