Coulisses du black ice tour 4 | Highway To ACDC : le site francophone sur AC/DC

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Coulisses du black ice tour 4

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Pourtant, il y a toujours des accrocs, des ratés et des dysfonctionnements qui apparaissent sur les premières dates, la variable du droit à l’erreur n’étant jamais à son strict niveau minimum avec la quantité immense d’éléments à gérer. Le "Black Ice Tour" n’a pas dérogé bien évidemment à cette règle…

L’incident le plus marquant a été sans nul doute le mauvais fonctionnement de l’emblématique Rosie gonflable qui devait chevaucher le Rock’N’Roll Train lors du morceau "Whole Lotta Rosie".
Alors qu’en répétitions, celle-ci s’était parfaitement déployée, notre poupée de très grande dimension refusa de se gonfler correctement lors du premier show de la tournée. A tel point que sa toile « corporelle » enveloppa le train quasi entièrement, au grand désarroi de l’équipe. Le groupe, face au public, mis un certain temps à se rendre compte de ce qu’il se passait derrière eux.

On renvoya cette dame ensuite dans les cartons pour ressortir en urgence pour les show suivants –rien ne se perd chez AC/DC- la Rosie gonflable première du nom, datant de la tournée du "Razor’s Edge Tour" citée plus haut pendant que les techniciens planchaient sur une nouvelle version.

Cette dernière, bien que plus âgée rempila de fort belle façon sans toutefois causer un petit incident le 30 novembre à Chicago lorsqu’une partie de la structure s’affala complètement sur la batterie de Phil Rudd qui fut des plus surpris, rapidement dégagé par quelques roadies devenus secouriste le temps de quelques secondes.

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La Rosie originale du "Black Ice Tour", elle, fit son grand retour sur scène un mois plus tard en chevauchant cette fois ci correctement le train sans plus aucun souci depuis...

On peut citer également le choc entre la locomotive et un des deux écrans géants amovibles lors de la première date du Black Ice Tour qui occasionna des dégâts sur le coté droit de l’écran. Deux lignes de codes dans le programme informatique, et ce ne fut plus le cas sur les autres dates.

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On a beau concevoir une scène de près de 4 millions de dollars comme c’est le cas sur cette dernière tournée, certains ustensiles relèvent toujours du bricolage sur scène…
Ainsi, les éternelles cornes qu’Angus Young porte lors de "Highway to Hell" apparues depuis le "Ballbreaker Tour" en 1996, lui descendent régulièrement en face des yeux, le dérangeant souvent. Ce gimmick fut enfin changé au mois de novembre dernier au profit de deux cornes auto-collantes plaquées sur le front.

Il aura donc fallu quand même près de treize ans pour trouver une solution !



Dossier réalisé par H2ACDC.COM - janvier 2009 -

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