- INCIDENT : |
Lors de larrivée du groupe à Londres, Bon Scott se rend dans un pub à Finchley quil avait lhabitude de fréquenter à lépoque de son précédent groupe Fraternity. Il revint du Pub avec un il au beurre noir. On présume quil avait rencontré une vieille connaissance là-bas ! Sur les premiéres photos de presse du groupe, Bon porte donc des lunettes noires |
- AU MARQUEE : |
Jack Berry, patron du Marquee à lépoque : « Je dois remonter à Led Zeppelin pour trouver un groupe aussi excitant quAC/DC. Ce groupe est très original, pas pour la musique quils pratiquent, mais pour la maniére avec ils linterprétent. Ils sont incroyablement doués, et je pense quils sont capable de jouer pour un public vraiment large ». |
- ATLANTIC : |
Au moment où AC/DC signe avec le label ATLANTIC, ce dernier a déjà montré un intérêt certain pour le hard et le rock versant « dur », en signant des artistes comme CREAM, IRON BUTTERFLY , ou bien sûr LED ZEPPELIN. A cette époque les membres dAC/DC étaient fascinés par le trio LED ZEPPELIN/BLACK SABBATH/DEEP PURPLE, dont ils voulaient rejoindre la notoriété. |
- RADIO : |
Angus : « Nous ne savons pas trop ce que les gens peuvent dire de nous quand nous sommes sur la route. Nous fonçons, simplement. Cest la plus grande sensation que je puisse connaître : aller de concert en concert. On ne sécoute même pas à la radio. Quand je lallume, jentends des trucs comme STYX ou JOURNEY, et je léteins tout de suite. Ceci nest pas du rocknroll, cest du show business. » |
- DEUX MONDES : |
Pendant que Angus et Malcolm se préoccupent de leurs relations à long terme avec leurs femmes respectives, plus intéressées par lachat dune maison que dautres choses, Bon continue de naviguer à vue, entre boissons, groupies et rocknroll. Deux mondes qui allaient bientôt se séparer à jamais |
- DE KRAMER à LANGE : |
Bon : « Nous étions en Floride, en studio avec KRAMER, et nous navions pas écrit un seul mot, une seule note, en trois semaines ! ! ! ! Nous lui avons donc signifié que lon préférait prendre un jour de repos pour réfléchir un peu mieux. Le type se barre. Nous, on reste en studio durant cette fameuse journée. Et là, on écrit dun seul coup 6 chansons ! On les envoie à LANGE, en lui disant : « Tu veux bosser avec nous ? ». Il a tout de suite dit OK. Il avait été impressionné par les démos. » |
- HOMMAGE dANGUS à BON : |
« Bon était comme un père pour nous. Il avait dix ans de plus que moi et il possédait lexpérience et le savoir. Sil y avait un problème de salaire dans le groupe, Bon prenait tout de suite laffaire en main. Sil y avait un problème personnel, Bon était le premier sur le coup. Il était le type qui était là au bon moment. Quelquun dunique. » |
- UN DERNIER FEU DARTIFICE : |
Peu de temps après la mort de Bon, vers la fin de mois de Février 1980, plusieurs de ses amis reçurent des cartes de Noël rédigées de la propre main du chanteur. Il semble que par négligence, il ait oublié de mettre le timbrage suffisant sur les enveloppes denvoi. Un ultime pied de nez au destin . |
- UN CONCOURS DE CIRCONSTANCE : |
Les circonstances officieuses du remplacement de Bon par Brian sont assez exceptionnelles. Sachant quAC/DC recherchait un nouveau chanteur, un fan de Chicago leur envoyât une cassette avec des morceaux du groupe de Johnson, Geordie. La cassette passa par le management dAC/DC, qui transmit lobjet à Malcolm Young. Celle-ci aurait immédiatement contacté Johnson pour une audition ! |